Dans son numéro 102, Nexus nous montre que les prétendues statistiques de guérison ne sont que des chiffres de rémission à cinq ans.J'ajoute ici, ce qui n'est pas dit: de nombreuses personnes traitées ne sont pas malades et pourraient vivre encore de nombreuses années, sans souffrance ni tracas.
Nexus montre que les traitements chimiques n'ont pas fait la preuve de leur efficacité. Cytotoxiques ou "ciblées", les effets néfastes de ces traitements sont en fin de compte aussi redoutables que le cancer lui-même et risque même d'être à l'origine de nouveaux cancers. Au mieux le malade meurt guéri.
L'article de ce numéro 102 démontre l'existence de conflits d'intérêt des organismes dont l'acceptation est obligatoire pour participer à la mise au point de protocole de traitement et... Tout malade risque de se retrouver victime d'expérimentation de nouvelles molécules, pour le plus grand profit des... investisseurs.
Nexus fait donc la preuve, pour ceux qui en avaient encore besoin, que le système est verouillé dans l'unique but d'assurer les profits fabuleux des laboratoires.
Malheureusement, tout cela n'est que du réchauffé. Le numéro 34 du même magasine, titrait déjà : " cancer : traitements conventionnels inefficaces et non scientifiques".
Depuis cette revu a bien changer, qui a remplacé les témoignages de personnes autorisées par leurs expériences, par du vomi de journaleux, qui ménagent chèvres et choux, tout en noyant le poisson et... le lecteur par la même occasion.
Je ne dépense donc plus 7,90 € depuis qu'un certain torchon, concernant les ChemTrails, écrit par une journaleuse, fière de son article, malgré l'avalanche de courriers de mécontents qui a suivit.
La revue Nexus s'avère de plus en plus décevante.Nous constatons que pour le cancer, qu'à part rabâcher ce que nous savions depuis longtemps, elle ne présente aucune nouveauté et rien des nombreuses alternatives de soins que nous pourrions offrir aux malades.
PS : concernant de ce même numéro, j'ai évité de parler des deux bouffons et de leurs élucubrations sur la "big entourloupe".