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Sujet: Vaccins, mensonges et propagande... 3/15/2014, 00:27
L’histoire de la vaccination est jalonnée de falsifications, de dissimulations et de mensonges. (Source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Sylvie Simon a opté pour les dix plus gros flagrants mensonges, chacun ayant engendré des dizaines de plus petits mensonges. "Le mensonge est rarement issu par génération spontanée d’une volonté déterminée à l’avance par quelque Machiavel. C’est bien plus souvent un glissement lent et fatal vers une erreur perçue, mais inavouée, l’orgueil se mêlant ici à la cupidité" (Thierry Fenoy, avocat au barreau de Châlons-sur-Saône).
Dernière édition par Théurgéobiologue le 7/16/2017, 11:03, édité 3 fois
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 3/15/2014, 00:31
MENSONGE N° 1 : Pasteur est un bienfaiteur de l’HUMANITE
"Tous nos problèmes actuels sont l’inévitable résultat de nos brillantes solutions d’hier" (Henry Bergman)
Bien que l’aventure de la vaccination ait commencé à la fin du XVIIIème siècle lorsque le médecin anglais Edward Jenner entreprit d’inoculer la vaccine, maladie spécifique des bovins, afin de protéger les hommes de la variole ou petite vérole, c’est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination et c’est avec lui qu’a débuté le long cortège de mensonges. Cet homme brillant, intelligent et gros travailleur, était un expert en communication et se tenait au courant des travaux effectués par ses pairs. Sa tactique a toujours été la même : il savait reconnaître les bonnes idées mais commençait par les critiquer ouvertement, puis il se les appropriait sans vergogne en prétendant les avoir découvertes. C’est ainsi qu’il est devenu un bienfaiteur de l’humanité et, surtout, un mythe intouchable. Le dogme pasteurien est tellement ancré dans les esprits que rien n’a pu encore l’ébranler et les Français idolâtrent encore un imposteur. D’une part, Pasteur a maquillé les résultats d’expérience qui ne lui étaient pas favorables, ensuite, il s’est approprié certains travaux d’autres chercheurs, dont Antoine Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXème siècle, médecin biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique à la faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la Faculté libre de Lille. Béchamp a démontré la véracité des vues de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses. Cependant, son œuvre est à peu près inconnue de nos jours, parce qu’elle a été systématiquement discréditée et falsifiée aux profits des intérêts personnels de Pasteur. Dès l’école, nous apprenons que Pasteur « a sauvé le petit joseph Meister, mordu à la main par un chien enragé ». À vrai dire, il n’existait aucune certitude que le chien fut enragé car on ne signala aucune autre morsure ; de plus, quand bien même il l’aurait été, le risque pour le jeune Meister était infime, car un animal réellement enragé – ce qui est extrêmement rare – ne transmet la maladie que dans 5 à 15 % des cas. L’affaire de la rage est l’exemple même des mensonges de Pasteur qui ont été répétés et introduits par ses admirateurs dans la mémoire collective, au point d’être devenus des vérités pour le commun des mortels. Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut bien vite abandonné, et le jeune Meister a eu beaucoup de chance d’en réchapper. L’histoire n’a retenu que le succès de ce vaccin, mais a oublié de dire qu’il avait multiplié les décès par la rage. Entre 1869 et 1872, Pasteur a énoncé trois postulats de base erronés qui servent encore aujourd’hui de fondement à la vaccination. Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur) et l’attaquent, et ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants. Le second est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin. Enfin, l’immunité s’obtient par la production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes contenus dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection. Nous savons depuis longtemps que ces postulats sont faux, les découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font mine d’ignorer ces travaux.
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 3/15/2014, 00:38
MENSONGE N° 2 : Il faut ERADIQUER LES microbes et LES virus
"Il est étrange que la science qui jadis semblait inoffensive, se soit transformée en un cauchemar qui fait trembler tout le monde." (Albert Einstein)
Nous vivons en symbiose avec les microbes et si nous les considérons comme nos ennemis, nous entrons dans une logique de guerre qui met en péril notre système immunitaire. Les bactéries maintiennent notre équilibre biologique et ne deviennent pathogènes que lors que notre système immunitaire est perturbé et ne remplit pas ses fonctions. Quant aux virus, ils se reproduisent uniquement à partir de leur matériel génétique et ne sont que des parasites des cellules. Notre corps peut abriter de nombreux virus sans que nous ne soyons malades. Il est donc essentiel de comprendre que les microbes et les virus ne sont pas des ennemis qu’il faut éradiquer à tout prix et que seul importe le terrain que nous devons préserver de ses véritables agresseurs. A la naissance, le système immunitaire n’est pas encore complètement élaboré et, pendant les premiers mois, le nourrisson est protégé par les anticorps transmis par sa mère. Cette immunité héritée est remplacée par une immunité personnelle au fur et à mesure que l’enfant rencontre des germes, microbes ou virus, particulièrement grâce aux maladies infantiles. C’est pour cette raison que les vaccinations apparaissent comme des éléments perturbateurs incontrôlables. Le Pr J. Tissot, professeur de physiologie générale au Muséum d’histoire naturelle, nous mettait déjà en garde bien avant l’overdose vaccinale actuelle : « L’immunité par vaccination ne s’acquiert qu’en conférant à l’individu la phase chronique de la maladie qu’on veut précisément éviter, phase chronique qui comporte, dans un avenir proche ou très éloigné, de redoutables complications ». Pr J. Tissot (Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les éloignent). De toute manière, les vaccinations ne procurent pas la même immunité que les maladies et les taux d’anticorps évalués après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont évalués après les maladies. De plus, l’immunité conférée par la maladie est définitive, ce qui n’est pas le cas pour la vaccination, dont la protection, si protection il y a, est limitée dans le temps, ce qui entraîne un retard dans la survenue des maladies, lesquelles sont beaucoup plus graves chez la population plus âgée, avec une mortalité multipliée par dix.
Dernière édition par Admin le 3/15/2014, 00:40, édité 1 fois
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 3/15/2014, 00:40
MENSONGES N° 3 : Les EPIDEMIES ont disparu GRÂCE aux vaccins
"L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition". (Dr Albert Schweitzer)
Nombreux sont ceux qui estiment que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et qui refusent de mettre en doute leur efficacité. Pourtant, certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font mine d’ignorer. Mais lorsqu’on montre les courbes de décroissance des maladies, elles débutent au moment des campagnes de vaccination et non des années ou des siècles plus tôt, ce qui nous permettrait de constater que la diminution de ces maladies a commencé bien avant l’introduction du vaccin. D’ailleurs, la plupart des médecins l’ignorent, et les partisans de la vaccination s’appuient sur ces statistiques, pour la plupart tronquées et donc inexactes, pour « prouver » l’efficacité des vaccins, quand ils ne se bornent pas à la seule affirmation péremptoire que n’étaye aucune sorte de démonstration. Ils ne se demandent jamais pourquoi ces épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n’ont pas pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées, tout comme ils semblent ignorer que l’épidémiologie et la presse scientifique internationale attestent que des épidémies se déclarent encore dans les pays où la couverture vaccinale est presque totale. Les immunologistes s’interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche. Ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l’évidence, il s’agit d’une faillite de la vaccination. Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr Lépine constatait à son tour : "Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination".
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 3/15/2014, 00:42
MENSONGE N° 4 : Vacciner un enfant c’est le PROTEGER
"S’il n’y avait que les vrais malades à soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. Il faut donc convaincre l’ensemble de la population qu’elle est potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n’en ont pas besoin". (Pr Didier SICARD chef du service interne à l’hôpital Cochin, président du Comité national consultatif d'éthique)
Un enfant de parents en bonne santé naît avec un potentiel remarquable et développe progressivement son immunité. Il est parfaitement capable d’affronter l’épreuve des maladies infantiles qu’il ne faut pas redouter autant qu’on le prétend. Les parents anxieux pensent que les vaccinations sont une panacée et qu’elles éviteront les maladies de leurs enfants. Les vaccinations affaiblissent considérablement le terrain. Les maladies aiguës, incapables de s’exprimer, peuvent se développer de façon larvée, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques souvent graves et inguérissables. Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider l’enfant à surmonter cette légère épreuve. Comme le disait déjà Hippocrate : "Le corps fait une maladie pour se guérir". Il est évident qu’il faut surveiller l’évolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre d’imprudences qui pourraient entraîner des complications chez les enfants fragiles ou prédisposés à certaines pathologies. Paradoxalement, ce sont ces enfants qui manifestent les effets secondaires les plus graves après la vaccination. Les vaccins empêchent parfois l’éclosion des maladies pour lesquelles ils sont prévus, mais ils facilitent l’émergence d’autres maladies, car le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents. Les vaccins de routine effectués dans l’enfance grèvent le patrimoine héréditaire et l’empêchent d’apporter une protection efficace à l’individu pendant toute sa vie.
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 3/15/2014, 00:43
MENSONGE N° 5 : Les accidents VACCINAUX sont exceptionnels
"Le seul vaccin sûr est un vaccin qui n’est jamais utilisé". (Dr James A. Shannon, membre du National Institute of health)
Ce mensonge est monumental. Aucun vaccin n’est jamais sûr à 100%, personne n’oserait prétendre le contraire. Cependant, en France, chaque fois que le Ministère de la santé est attaqué dans le cadre des accidents vaccinaux, il oppose l’absence de lien direct entre la vaccination et l’accident, parlant de simples "coïncidences". Comme il est très difficile de démontrer un lien de cause à effet, surtout quand la mauvaise foi s’en mêle, cette complexité aboutit à faire porter aux victimes tout le fardeau de la preuve. Ainsi les autorités se refusent-elles à enregistrer comme "réactions vaccinales" les accidents malheureux qu’on présume être le fruit du hasard. Faute de preuves juridiquement défendables, nombre de complications vaccinales ne sont pas rapportées officiellement. Il serait plus logique et plus moral que ce soit les laboratoires qui apportent la preuve que leurs substances ne sont pas dangereuses. Mais cela semble impossible étant donné les falsifications, de plus en plus reconnues de leurs essais sur leurs produits. Nos voisins de la CEE sont beaucoup plus honnêtes dans leur déclaration d’accidents. Aux Etats-unis, depuis 1990, la loi oblige tous les médecins à déclarer les complications vaccinales. Aussi, de 1991 à 1996, on a officiellement enregistré 48743 complications vaccinales... Alors qu’en France, nos pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne génèrent pas d’accidents secondaires, surtout chez les enfants.
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 3/15/2014, 00:45
MENSONGE N° 6 : Le vaccin contre le TETANOS est indispensable
"Quand on a décidé d’être aveugle, l’évidence cesse d’avoir cours" (A.Peyrefitte, l’Empire immobile)
Le tétanos n’est pas contagieux, il ne se transmet pas par contact d’individu à individu et- mention particulière – la maladie n’est pas immunisante. Dans son ouvrage La catastrophe des vaccinations obligatoires, le PR J. Tissot, qui n’était pas un gourou de secte, mais un authentique savant comme il y en avait autrefois, posait la bonne question : "puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protéger de la maladie"? Le tétanos reste aujourd’hui une maladie grave, mais rare. Environ 50% des malades guérissent spontanément. On estime que toute plaie, si minime soit-elle, expose au risque du tétanos, ce qui est faux. Il existe, en revanche, des tétanos en l’absence de plaie. Quant au tétanos néonatal, qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d’hygiène ombilicale à la naissance. Il faut donc relativiser les choses et ne pas céder à la panique soigneusement entretenue par ceux qui encouragent la consommation vaccinale. Pourquoi vacciner systématiquement tous les enfants contre une maladie qu’ils ne rencontreront sans doute jamais ? Sous nos latitudes, les enfants n’ont pas de tétanos, alors pourquoi tous les vacciner ? En matière de prévention, après une blessure, on avait coutume d’administrer de façon préventive du sérum antitétanique, afin de conférer une immunité passive. Cette pratique est tombée en désuétude en raison de son inefficacité et de ses graves inconvénients, dont on ne parlait guère avant son abandon. Aujourd’hui, quoi qu’il en soit, on impose systématiquement le vaccin en cas d’hospitalisation pour blessure. Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse susceptible de provoquer des épidémies, il est très difficile d’établir des courbes significatives d’évolution. Ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, les deux seuls pays d’Europe où cette vaccination est obligatoire. Pour qu’il y ait tétanos, il faut absolument que ces spores se retrouvent dans un tissu en anaérobiose. La multiplication bactérienne du tétanos ne peut se faire dans des tissus sains normalement oxygénés, car la présence d’oxygène dans les tissus vascularisés entraîne instantanément la mort des bactéries. Il est donc impossible de trouver le bacille du tétanos dans les tissus normaux, bien irrigués. C’est pour cette raison que la plupart des piqûres ou blessures septiques n’entraînent pas la maladie. C’est pour cela aussi que le tétanos menace davantage les gens âgés, car leurs tissus sont parfois mal vascularisés, nécrosés, atteints de phlébite et de mauvaise circulation. La vaccination antitétanique est dirigée contre la toxine secrétée par le bacille, mais pas contre le microbe. Le Dr Méric précise : "Le système immunitaire se trouve entièrement dans la circulation sanguine, dans le sang. Aussi bien, les cellules qui forment les anticorps que les anticorps eux-mêmes appartiennent à ce monde aérobie. Tout le langage du système immunitaire appartient à ce monde aérobie. Le transport des anticorps se fait entièrement et uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique, c’est-à-dire en aérobiose. Les plaies tétanigènes sont nécessairement et obligatoirement anaérobies donc les microbes et la toxine du tétanos et les anticorps antitoxines ne peuvent se rencontrer". D’après lui, il est absolument impossible que les anticorps rencontrent le bacille ou sa toxine, ce qui semble imparable. De la sorte, le vaccin contre le tétanos n’est pas du tout efficace, mais il peut toutefois être responsable de sérieux et nombreux désordres post-vaccinaux. Les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du PR Delbet. Le Dr Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie et le Pr Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de Médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical. Dans une lettre au Dr Neveu, en date du 16 novembre 1944, il révélait : "La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’Académie a trouvé après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations". Voilà un exemple flagrant de mensonge par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des solutions efficaces et peu coûteuses, mais qui s’écartent de la voie autorisée, sont condamnés au silence. Il ressort de ce rapport que l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent sa conduite à l’Académie.
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 3/15/2014, 00:46
MENSONGE N° 7 : EVITEZ la grippe en vous faisant vacciner
"L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition" (Dr Albert Schweitzer).
Chaque année à l’automne, les médias payés par l’industrie pharmaceutique lancent des campagnes publicitaires pour inciter les personnes âgées à se faire vacciner contre la grippe. Et pour mieux attirer le consommateur, ils prétendent que c’est gratuit. Voilà déjà un premier mensonge, car tout le monde sait que rien ou presque n’est gratuit ici-bas, et que les laboratoires ne sont pas des mécènes. Les vaccins « gratuits » sont évidemment payés par les usagers sous forme de prélèvements de la Sécurité Sociale. Mais tout cela ne serait pas trop grave si ce vaccin était efficace. En 1993, la Caisse d’Assurance Maladie de Loire-Atlantique a voulu étendre le bénéfice de la vaccination gratuite à 43000 assurés sexagénaires, et dû arrêter l’expérience en constatant qu’à cet âge les vaccinés consultaient plus et dépensaient plus que les non-vaccinés. Et le journal Libération du 11 octobre 1994 titrait : "Les vaccinés contre la grippe coûtent plus cher à la Sécu". L’article précisait : "Les vaccinés consomment plus de médicaments que les non-vaccinés. En novembre et décembre 1993, ils ont dépensé 23% de plus que les non-vaccinés (en consultation, visites, pharmacie). Quant à l’efficacité du vaccin, elle reste difficile à évaluer." D’ailleurs, très peu de médecins sont vaccinés contre la grippe. Ils sont bien placés pour savoir que ce vaccin est inutile. Le Dr Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA, est catégorique : "Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre." Non seulement ce vaccin protège peu ou pas du tout, mais les mises en garde provenant de médecins ou de revues médicales réputées sont très nombreuses. D’ailleurs, on recommande de faire au préalable un test cutané en milieu hospitalier sous surveillance, à proximité d’une unité de soins intensifs, avec de l’adrénaline à portée de main et un personnel médical et paramédical entraîné, ce qui n’est jamais fait, mais prouve la dangerosité du vaccin. Parmi ses nombreux effets secondaires, il faut citer des péricardites aiguës, des problèmes cardiaques (infarctus), et des pathologies neurologiques : encéphalites, myélopathie, occlusion de la veine centrale de la rétine, paraplégie, radiculite, et la liste est loin d’être exhaustive. Les recherches du Dr Hugh Fudenberg, fameux immunologiste américain, l’ont amené à établir un lien entre les vaccinations régulières contre la grippe et un risque croissant de la maladie d’Alzheimer.
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 3/15/2014, 00:48
MENSONGE N° 8 : L’HEPATITE B est TRES dangereuse et s’attrape par la salive
"L’ignorance est la mère de tous les maux" (Rabelais)
C’est par un mensonge, qu’a été lancée la campagne éhontée en faveur de la vaccination contre l’hépatite B, dont la publicité a dépassé de très loin les arguments utilisés pour vendre du Coca-Cola. Ce fut le premier mensonge, mais pas le dernier, loin de là ! Dès lors, les mensonges se sont succédés à une cadence rarement égalée auparavant dans le domaine de la santé. Ainsi, Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Santé du gouvernement Balladur, n’a pas hésité à avancer les chiffres les plus farfelus, sans aucune base scientifique, mais qui avaient évidemment été soufflés par les marchands de vaccins : « L’hépatite B ce sont 40000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes », osa t-il affirmer à Libération le 4 septembre 1994. Pouvait-il ignorer que les estimations officielles (Réseau National de la santé) se situaient autour de 8000 ? Le Dr Christian Spitz, pédiatre et psychologue chargé de "l’information", n’a pas hésité à affirmer que 4 milliards d’individus étaient touchés par le virus. L’esprit critique aurait à ce point déserté la France ? Ce chiffre qui représente 70% de la population mondiale, devait effectivement affoler tout le monde, jeunes et vieux ! Cependant, personne n’a semblé relever l’énormité du mensonge, pas une seule voix ne s’est élevée pour protester officiellement. "Plus c’est gros plus ça passe", selon le dicton ! On peut aussi juger de la qualité des informations données aux adolescents en prenant connaissance d’une note interne, lumineuse, du laboratoire Pasteur-Mérieux : "Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur… Il faut dramatiser… faire peur avec la maladie". A lui seul, cet aveu aurait dû provoquer une remise en question du vaccin, puisque la « nécessité de vacciner » a été basée sur ces informations qui relèvent de la publicité mensongère. Et c’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer les médecins généralistes, avec toute l’objectivité qu’on peut attendre de quelqu’un qui est juge et partie. Dans cet élan, le laboratoire n’a pas hésité à éditer une plaquette affirmant : "la salive est un important vecteur de la contamination". Avec la bénédiction du ministre de la Santé, les laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au sein des établissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin non obligatoire, mais que chacun croyait tel... Car aucun des tracts n’a jamais mentionné que la vaccination était seulement conseillée et non obligatoire. En fait, cette OPA a été une parfaite réussite puisqu’au cours de l’année 1995, on a vacciné autant de personnes que pendant les quatorze années précédentes. Avant toute campagne de vaccination, la fréquence de l’hépatite B était déjà réduite de 90%, principalement grâce au retrait des lots de sang contaminé. Et de cela, on s’est bien gardé de parler durant la campagne. Dans un de ses dépliants, le laboratoire SBK n’hésitait pas à écrire : "l’hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an" ! Ce mensonge a été imprimé et distribué à des centaines de milliers d’exemplaires dans les collèges et les lycées. Le Dr Bruno Donatini a mené une étude sur l’hépatite B . Ses estimations sont bien différentes de celles diffusées par les laboratoires et répétées par les organismes publics. Le Dr Donatini estime que le risque d’hépatite grave chez un sujet français "normal" est de l’ordre de 1 pour 50 millions alors que le risque d’accident grave est très élevé. Mais cela, personne ne l’a jamais dit officiellement. Et personne, non plus, n’a jamais avoué que le nombre de victime de la maladie est bien loin d’atteindre celui des méfaits de l’alcool, mais il n’existe pas de vaccins contre l’alcoolisme, aussi en parle-t-on moins. Soyons sérieux. Etant donné que l’incidence de la maladie avait diminué de façon spectaculaire bien avant la vaccination (douze fois moins de cas en 1992 qu’en 1978), on ne peut que s’inquiéter d’apprendre que les chiffres pour l’hépatite B ont doublé en dix ans. Dans ce cas, il faut surtout éviter de continuer à vacciner qui que ce soit.
Dernière édition par Admin le 3/15/2014, 00:51, édité 1 fois
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 3/15/2014, 00:50
MENSONGE N° 9 : Il n’existe aucun lien entre le vaccin contre l’HEPATITE B et la SCLEROSE en plaques
"Les médecins apprennent à nos risques et périls. Ils expérimentent et tuent avec une impunité souveraine et le médecin est le seul qui puisse donner la mort." Pline l’ancien,Histoire naturelle)
Ce leitmotiv qu’il n’existe aucun lien entre ce vaccin et la sclérose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques, syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales, myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et bien d’autres. En 1994, le Lancet (Vol.344) avait dénoncé : « La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré ». Ainsi, contrairement à ce qu’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B ne sont pas réservés à la France ? Le Dr Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l’Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites : "Le vaccin contre l’hépatite est composé d’un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l’organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d’où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination." L’expert, le Dr Marc Girard, a découvert un rapport de la direction générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 », alors que tous nos responsables de la santé persistent à affirmer qu’il n’y en a pratiquement pas. Dans la littérature internationale, on note également une multiplication récente des articles sur la sclérose en plaques chez l’enfant, maladie exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez l’enfant a également été confirmé par un article publié en 2001 dans les Annales épidémiologiques. A la suite de ces parutions, les laboratoires ont réagi car, en 2003, les journaux français ont annoncé que des études indépendantes avaient totalement innocenté le vaccin. En vérité, ces deux études, réputées « indépendantes » furent initiées et en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, associé de Pasteur-Mérieux. Les marchands de vaccins avec nos instances de santé, n’hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens que les malades cherchent à établir n’ont aucun fondement scientifique. En outre, ils continuent à claironner qu’il n’existe « aucun accident » chez les enfants de moins de six ans, alors qu’il n’y a aucune raison pour que le pourcentage de mortalité après ce vaccin, pour cette tranche d’âge, soit en France inférieur à celui des Etats-unis. D’ailleurs le Revahb possède plusieurs dossiers concernant des accidents survenus chez des nourrissons, d’autres associations en détiennent également.
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 3/15/2014, 00:54
MENSONGE N°10 : L’autisme n’a aucun rapport avec les vaccinations
"Lorsque nous laissons au gouvernement le pouvoir de prendre des décisions médicales à notre place, nous acceptons tacitement que l’Etat soit le propriétaire de notre corps" (Dr Ron Paul, Sénateur américain)
L’autisme se manifeste en général au cours des trois premières années, période pendant laquelle les enfants subissent de nombreuses vaccinations. Serait-ce un des curieux "hasards" qui jalonnent le parcours des vaccins ? Les cas d’autisme se sont multipliés depuis une trentaine d’années. Alors qu’aux Etats-Unis on avait détecté seulement une poignée de cas les années quarante, vingt ans plus tard, après la généralisation du vaccin diphtérie-Tétanos-coqueluche et l’arrivée du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas d’autisme devinrent de plus en plus fréquente, et elles ont décuplé avec l’introduction du ROR et du vaccin anti-hépatite B. A présent les scientifiques sont très inquiets. S’agit-il d’une simple coïncidence, qu’avant l’introduction de ces vaccins, il y a eu si peu de cas et qu’ils se soient multiplié plus de dix fois depuis la vaccination ? Comment se fait-il qu’on ne cherche pas à approfondir les études sur ces coïncidences temporelles ? Comment se fait-il que les pouvoirs discréditent toute étude sérieuse mettant en cause la toxicité des vaccins alors qu’ils tiennent compte et plébiscitent certaines études simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ? Pourquoi les accidents relèvent-ils toujours de coïncidence ? Pouvoirs publics, médecins, et médias persistent à répéter la même rengaine : « Le vaccin reste la meilleure protection contre la maladie et cette maladie est fréquente et parfois mortelle », alors que les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bénignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant. Les mensonges que nous dénonçons concernent tous les pays de la planète. Ainsi, lorsque débutèrent les premières vaccinations ROR au Japon, le Ministère de la santé signala les effets indésirables dans un cas sur 200 000. Quelques années plus tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un accident pour 3000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau "révisées", il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccinés, chiffre étrangement différent de ceux précédemment publiés. Mais en France, nous n’avons aucun problème avec le ROR et l’on continue à administrer ce vaccin et à l’exiger pour l’admission en crèche. Dans le domaine du mensonge, nos «experts » restent imbattables ! leurs discours insultent l’intelligence et s’apparente à un faux témoignage. Quand demandera-t-on des comptes à ces spécialistes en rappelant leurs responsabilités ? demande le Professeur Jacques Testart, biologiste réputé.
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Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 3/16/2014, 11:23
Bonjour à tous, Suis-je dans la bonne rubrique? L'inspiration est venue suite à ces articles. De plus, merci aux lecteurs qui voudront bien ou pourront informer le site car : Je suis très intéressée par les statistiques concernant l'inversement des longévités dans les divers pays ou villes de France.. Seul ce style d'info impliquant l'instinct de survie, inciterait peut-être, j'écris bien PEUT-ÊTRE, au moins les lecteurs de ces articles à faire des modifications tangibles.
Sachant bien sûr que s'il y avait baisse ou chute, celle-ci serait évidemment, cela tombe sous le sens, uniquement dûe, cela va de soi, aux pollutions contre lesquelles on lutte actuellement dans les villes en offrant par ex, la gratuité des transports pendant la durée de la pollution dans certaines villes, et ailleurs dans d'autres, en doublant le nombre de bus gratuits notamment les jours de week end quand presque personne ne circule ni à pied ni en auto, même par beau temps.
Toute la Toxémie serait héréditaire de 2 manières :
. 1° . par l' ADN modifié par tous les métaux lourds dont ceux des vaccins contenant aluminium et mercure ... Donc transmission parents-enfants et
. 2° . la mère libèrerait une grande partie de ses métaux lourds dans son fœtus attendu ou pas avec beaucoup d'amour, pendant la grossesse par réflexe de survie.
=> Cela rendrait donc la Toxémie à la fois : Héréditaire et Cumulative et en plus maintenant Culpabilisante ou Culpabilisatrice. Donc nos enfants seraient dès la naissance plus chargés que nous en métaux lourds. A cela s'ajoutent les multitudes de vaccins et d’aliments chimiques. => Donc Il semblerait que nous ayons des soucis à nous faire pour les générations à venir. Le nombre de malades ne cesserait d’augmenter " soit 25 millions de malades chroniques en France et en prenant toutes les pathologies confondues 1 enfant sur 2 serait malade ". => Mais pourquoi donc se faire des soucis pour les générations à venir, surtout si le paradis est offert d'emblée, ou la montée vibratoire ou ... ou ... acquise naturellement par un simple repentir quotidien voire de dernière minute, tant que les religions ne feront savoir la réalité des réincarnations et leurs tourments dont nous avons une idée plus ou moins nette autour de nous. Qui sait où nous atterrirons. Je reprends une citation souvent entendue dans mon enfance : " Après nous le déluge ".
Si nous ne parvenons à rien, avons nous vraiment un libre arbitre ? Quelle que soit l'origine de la pollution, vaccins, mensonges, vérités ou autres choses qu'on veuille effacer ou mettre à jour, en bon citoyen, ou en ' bon être spirituel '.., il semble qu'on ne puisse lutter contre qu'en ajoutant une autre couche de pollution dans un autre domaine. L'un comme l'autre luttant pour la défense d'un bien être somme toute matériel. C'est très paradoxal. Alors pourquoi insister sur ces : " => Donc " redondants. Et, Donc, dans l'attente de vos statistiques. A bientôt HOME.
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 3/17/2014, 04:50
Les fonctions que j'ai occupées, il y a quelques annèes, m'ont permis de constater que les personnent décèdent à un âge de plus en plus jeune... Voire très jeune. Je ne dispose malheureusement pas de statistiques. Dans le même temps, j'ai vu augmenter de façon impressionnante la quatité d'enfants en bas âge, 7, 8 ans, qui sont déjà obèses... d'autres autistes... Après cela la propagande peut bien raconter ce qu'elle souhaite... Que ceux qui ont des yeux pour voire les ouvrent.
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 9/21/2014, 17:19
Un médecin témoigne !
Doctorix le gaulois a écrit:
Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis médecin généraliste depuis 35 ans, et j'ai vacciné pendant 33 ans, sans état d'âme et en toute innocence coupable, oxymore seulement apparent: l'innocent ne sait pas, mais le médecin qui ne sait pas est coupable. Ma seule information a été la faculté (qui glissa joyeusement sur le sujet en 2-3 heures), et surtout la presse médicale et ses valets, les visiteurs médicaux; jamais le dogme n'a été remis en question. Il a fallu l'insistance et l'arrogance de Madame Bachelot à l'occasion de la grippe porcine pour que s'ouvre enfin ma machine à penser, à douter. Des ouvrages contestataires me sont tombés dans les mains comme par magie, et j'ai du non seulement remettre en question cette vaccination, mais l'ensemble des vaccins. Chaque nouveau bouquin m'a apporté des révélations, m'a appris le formidable mensonge entretenu depuis Pasteur, dont j'ai découvert qu'il n'était qu'un escroc, avec une nombreuse descendance. J'en parlerai plus tard peut-être.
Comprenez qu'un médecin qui refuse de vacciner prend quelques risques avec son Ordre, et compromet gravement ses revenus (en 7 ans, un enfant "rapporte" au moins 500 euros sous cet angle): ce qui n'incite guère ni à la réflexion, ni à la remise en question. J'ai franchi ce pas, après bien d'autres confrères, dans la discrétion. De plus en plus de confrères et de moins en moins de discrétion, pour eux comme pour moi, car les mentalités évoluent. Nos détracteurs nous montrent qu'en fait ils n'ont jamais étudié la question, ou choisi de ne pas l'entendre. En principe, celui qui se donne la peine d'étudier vire sa cuti dans les mois qui suivent.
à lui ! J'ai toujours plaisir à rencontre ou à lire ce genre de médecin collègue.
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 9/21/2014, 17:35
Voici une vidéo avec de nombreux témoignages... Pour ceux sui auraient encore des doutes. Amour aux bébés qui ne demandent qu'à vivre ! Amour à tous ceux qui refusent de les empoisonner et de les tuer petit à petit.
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 7/16/2017, 10:59
Découverte : les vaccins contiennent des nanoparticules toxiques ! ________
Une étude publiée dans l’International Journal of Vaccines... concernant 44 types de vaccins commercialisés en France et en Italie constaté la « présence de contaminants particulaires...»
Ces particules ne sont ni biodégradables ni biocompatibles : Tungstène, titane, zirconium, hafnium, strontium, aluminium, nickel, fer, antimoine, chrome, or, zinc, platine, argent, bismuth, cérium, cuivre, plomb, étain, baryum, vanadium, magnésium, souffre, silicium, calcium, sodium, manganèse…
Elles sont très dangereuses : L’injection de microparticule de tungstène, cobalt et nickel chez des rats cause l’apparition rapide de cancers avec tumeurs agressives. Les autres métaux ont une longue liste d’effets inquiétants.
Il y a du nano tungstène combiné ou non, dans les vaccins : Infanrix Hexa, Typhérix, Priorix du laboratoire GlaxoSmithKline, dans le vaccin Menjugate de Novartis, dans les vaccins Prevenar et Meningitec du laboratoire Pfizer, dans le vaccin Meningitec de Wyeth Pharmaceutical (UK).
« La présence de ces nanoparticules dans les vaccins permet de mieux comprendre... Les causes de certains effets secondaires, accidents post-vaccinaux et maladies : autisme, sclérose en plaque, désordres immunitaires, maladies neuro-dégénératives, mort subite du nourrisson… »
Théurgéobiologue Admin
Sujet: Re: Vaccins, mensonges et propagande... 1/16/2018, 15:59
Selon le "ministre de la Santé", Agnès Buzyn, les vaccins seraient sûrs et sans danger ___________________
Enquête sur les relations entre Mérieux, le vaccin « hépatite B », et l'Etat français, par Pierre Lefevre : Vaccin « hépatite B », histoire meurtrière pour le sauvetage économique de Mérieux
Années 1970 : règne hospitalier du virus de l'hépatite B Jusque dans les années 1970, l'hépatite B, appelée alors « hépatite de la seringue », sévit dans les hôpitaux où l'un des rôles des externes était de désinfecter les seringues et les aiguilles usagées avec un stérilisateur à chaleur sèche (les fameux Poupinel). Pourtant, on savait que le virus résiste à la chaleur et que cette « désinfection » était donc inefficace.
Les autorités de santé laissaient faire car elles considéraient que ce n'était pas grave. En effet, la plupart du temps, l'hépatite B provoquait une innocente jaunisse de quelques jours. Certes, de rares cas se transformaient en « hépatite chronique agressive » et quelques-uns dégénéraient plus tard en cancer du foie, mais, toujours pour nos autorités de santé, c'était « la faute à pas de chance », tout comme lorsque l'hépatite B se transmet, très rarement, par voie sexuelle.
Lors de ces années, un vaccin hépatite B classique, le vaccin HEVAC B, est proposé au personnel soignant. Les années 1980 : un effet inattendu de la propagation du sida, l'arrêt de la transmission hospitalière du virus de l'hépatite B.
Lors de la décennie suivante, à partir de 1978, le sida se répand et se transmet également par les seringues hospitalières. Toutefois, contrairement à ce qui se passe avec l'hépatite B, il tue rapidement les patients contaminés et oblige les autorités de santé à réagir plus énergiquement.
Il faudra attendre cinq ans et de nombreux morts... pour que soit décidée en 1984 l'interdiction au corps médical d'utiliser plus d'une fois le matériel injectable. Des containers de récupération sont installés dans les cabinets médicaux et dans les hôpitaux pour recueillir les seringues, aiguilles et autre matériel injectable en vue de leur destruction. Ainsi les hôpitaux et autres lieux de soins ne permettent plus au virus de l'hépatite B de se transmettre d'une personne infectée à une autre (il lui restera la transmission très marginale par voie sexuelle).
Années 1990 : l'invention et le brevetage d'un vaccin par génie génétique par les Français « Pasteur-Mérieux sérum et vaccins » et les Américains « GSK » Les vaccins « classiques » sont fabriqués avec des protéines du virus hépatite B que l'on nomme « vaccinantes » et qui deviennent un antigène lorsqu'elles sont injectées dans l'organisme afin de générer la production par le système immunitaire d'anticorps qui s'attaqueront par la suite au virus hépatite B pour le détruire.
Génie génétique : on « cancérise » les cellules productrices des protéines vaccinantes pour les rendre immortelles et faire des économies C'est en faisant synthétiser les protéines vaccinantes par des « cellules à développement continu » (des cellules CHO « cellule hamster ovary ») que le vaccin par génie génétique (GENHEVAC) est créé. La raison en est que les cellules saines en culture ne se divisent que 50 fois avant de mourir, alors que si elles sont « cancérisées » elles deviennent immortelles et peuvent ainsi produire indéfiniment les protéines vaccinantes.
Le procédé de fabrication est le suivant : grâce à des enzymes capables de scinder le génome du virus, on extrait la partie qui code pour la protéine vaccinante et on utilise ces mêmes enzymes pour « coller » cette partie du génome viral dans la cellule CHO qui va se prendre pour le virus et synthétiser ainsi la protéine vaccinante. Avec ce procédé il reste 1 % d'impuretés dans lesquelles il y a des enzymes capables, grâce à leurs propriétés catalytiques, de scinder le génome... (comme si on le découpait avec une paire ciseaux) ...de toutes les cellules de l'organisme humain dans lesquelles elles pénètrent au hasard suite à la vaccination.
1993 : crise de la « vache folle », la fin prévisible de Mérieu. Pendant les années « vaches folles », ce sont des troupeaux entiers de vaches européennes qui sont atteints d'une maladie neurodégénérative dont l'agent propagateur et générateur est rapidement identifié comme étant le PRION, une protéine qui déstructure le cerveau. Ce même PRION qui est responsable chez les peuples anthropophages de la maladie neurodégénérative (le cerveau se transforme en une sorte d'éponge) de Creutzfeld-Jakob.
Le prion qui attaque le cerveau de la vache étant semblable à celui qui attaque le cerveau de l'homme, il provoque chez ce dernier le « nouveau variant Creutzfeld-Jakob » (une nouvelle forme d'expression du prion sur les cerveaux humain). Comment est-on arrivé là ? Avec les farines animales qui transformèrent les ruminants en omnivores « bovidophages », mais pas seulement…
À la même époque, Mérieux possède une unité de production d'aliments pour animaux... Cela fait des années que Mérieux fabrique des produits dérivés du sang (albumine humaine, facteurs de coagulation, gamma-globulines, etc.) à partir de placentas humains congelés et achetés dans toutes les maternités européennes. Ainsi, des tonnes de placentas débarquaient à Lyon, elles y étaient pressées afin d'en extraire le sang utilisé pour la fabrication des produits utilisables en médecine. Une fois le sang extrait, en principe, la chair placentaire, bourrée d'hormones, était, elle, utilisée en cosmétique et en médecine (pommades au placenta pour cicatriser les plaies, pommades contre les rides, etc.), mais son utilisation se limitait-elle vraiment à cela ?
En Europe, contrairement à ce qui se passe aux États-Unis, on a interdit aux éleveurs de bœufs l'usage des hormones qui permettent d'engraisser rapidement les bêtes et de réaliser de confortables profits financiers… Les origines de la crise de la vache folle sont-elles à rechercher dans les activités de Mérieux à cette époque ? Et si les hormones placentaires humaines s'étaient retrouvées dans l'alimentation animale fabriquée et commercialisée par Mérieux ? Cela expliquerait pourquoi la crise de la vache folle s'est produite et pourquoi l'homme européen du xxe siècle, sans le savoir, et sans le vouloir, serait devenu anthropophage par vaches interposées… Cela expliquerait comment des hommes du xxe siècle en Europe se sont retrouvés atteints d'une maladie neurodégénérative propre aux peuples anthropophages…
À l'époque le prion « indécontaminable » condamne définitivement l'activité « placenta » de Mérieux qui risque de disparaître… C'était sans compter sur le président Chirac et le vaccin « hépatite B ». C'est la crise. La présidence de la République française s'empare du dossier et un beau matin, lors d'une réunion à l'Élysée en présence du ministre délégué à la santé de l'époque, Philippe Douste Blazy, et des représentants de Mérieux, il est décidé, de faire vacciner toute la France avec le nouveau vaccin hépatite B en ciblant les adolescents. Trois doses à 150 francs de l'époque l'unité, 20 millions de Français et c'est le jackpot : l'argent rentre à flots dans les caisses et permet de rééquilibrer les comptes. Dans la foulée, l'enseigne « Pasteur-Mérieux sérums et vaccins » devient Avantis-Pasteur et plus tard Sanofi-Pasteur.
Sanofi-Pasteur qui sera l'un des principaux bénéficiaires – sinon le seul – de la vaccination obligatoire étendue à 71 vaccins (et non pas 11 comme nous l'affirment en boucle Agnès Buzyn et la clique malfaisante des pros « vaccins-à-tout-prix-et-quoi-qu'ils-contiennent »).
Comme aujourd'hui, les autorités de santé affirmaient que le vaccin « hépatite B » était sûr, mais… Ce n'était pas le cas ! Le vaccin n'était pas pur à 100 % et, alors que des procédés de purification extrêmes avaient été mis au point pour traiter les produits dérivés du sang, ils n'avaient pas été utilisés dans la branche « vaccin » des activités de Mérieux. La raison : trop longs, trop complexe, trop chers.
Avec cette vaccination de masse décidée dans un bureau du palais de l'Elysée, on voit rapidement apparaître, en pédiatrie d'abord, puis chez les adultes, des effets secondaires graves comme des maladies auto immunes. Sans doute, les enzymes scindeuses de génome passent dans la circulation sanguine des vaccinés et opèrent des scissions de génome de-ci de-là : les cellules où s'opèrent ces scissions ne fonctionnent plus normalement et elles deviennent la cible du système immunitaire qui s'attaque à elles comme à un virus ou une bactérie… Résultat : explosion des cas de diabète, de thyroïdite, de sclérose en plaques, de polyarthrite rhumatoïde, de Lupus érythémateux, de maladie de Crohn, etc., etc.
Ces enzymes scindeuses de génome vont opérer dans les ovocytes et les spermatozoïdes, et c'est ainsi que nombre de pédiatres voient de plus en plus d'enfants victimes de « maladies génétiques » (pour en savoir plus, une grande partie des effets secondaires du vaccin hépatite B est colligée par l'association REVAHB - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Face au scandale qui éclate à l'époque, Bernard Kouchner, ministre de la Santé, renonce à recommander le vaccin « hépatite B » aux adolescents mais décide qu'il le sera pour les nourrissons. C'est la naissance de cette arme de destruction massive de santé : celle du vaccin hexavalent.
Années 2000 : l'argent prime sur la santé et la vaccination est une aubaine pour faire rentrer l'argent dans les poches de certains ! Il faut imposer, de gré ou de force, l'hexavalent et tout est fait auprès des pédiatres pour cela (rappelons que la vaccination infantile représenterait 30 % de leur CA). On les aide en organisant une rupture de stock des vaccins classiques de l'enfance, y compris pour les seuls vaccins juridiquement obligatoires (le tétravalent Diphtérie-Tétanos-Polio-Coqueluche) qui était fabriqué sans aluminium par Pasteur jusqu'en 2007. Le PREVENAR qui contient 13 vaccins est imposé, contre les pneumocoques qui peuvent être causées par près d'une centaine de bactéries les 13 vaccins semblent bien insuffisants pour atteindre l'objectif recherché officiellement).
À partir de 6 semaines, les bébés reçoivent maintenant plus de 70 vaccins les pros « vaccins-à-tout-prix-et-quoi-qu'ils-contiennent » ne s'en offusquent pas. Pour eux « quand un nourrisson respire il est en contact avec des centaines d'allergènes et tout se passe bien ! » Νοtre décompte dénombre 73 νaccins ! (un vaccin est un antigène spécifique destiné au système immunitaire afin qu'il produise des anticorps spécifiques). 73 vaccins vont être inoculés a des nourrissons entre 2 et 18 mois... 73 vaccins avec leur aluminium et autres substances hautement toxiques.
Les maîtres d'école sont aux premières loges des dégâts de la vaccination infantile de masse Certains enseignants n'en reviennent pas : sur 30 élèves de leur classe, ils peuvent avoir besoin de deux auxiliaires de vie scolaire (une pour un enfant autiste, une autre pour un enfant hyperactif ainsi que pour les cinq qui ont des troubles de l'attention). Et ne parlons pas des enfants en rééducation (psychomotricité, orthophonie, orthoptie, etc.) ou de ceux qui ont de l'adrénaline dans le frigo chez eux car s'ils mangent par mégarde une cacahuète ils meurent !
Ils violent nos droits fondamentaux d'être humain ! Tout comme la Convention d'Helsinki, le « Libre consentement éclairé », qui faisait de nous des êtres protégés des tentatives d'expérimentations humaines et qui nous rendait responsables de nos corps et de ceux de nos enfants, est jeté aux orties. Sans doute pour que nous ne puissions pas nous opposer à la vaccination des nourrissons de deux mois contre une maladie sexuellement transmissible ou à celle des garçons contre le risque du cancer du col de l'utérus !
Ce qui est en cause, ce sont nos droits de femmes et d'hommes libres d'être responsables de nos corps face à la dictature médicale qui se met en place.
Problème du vaccin ROR (Rougeole - Oreillons - Rubélole) Pour le vaccin ROR (ou MMR), qui ne contient pas d'aluminium mais qui est fait de trois virus vivants, il faut savoir que deux de ces virus peuvent faire abaisser la réponse immunitaire pendant que le troisième provoque une encéphalite. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle ces « trois vaccins en un » ont été interdits au Japon où le vaccin de la rougeole, celui des oreillons et celui de la rubéole sont injectés séparément et à intervalle de temps afin que l'organisme puisse assimiler chaque injection avant d'en recevoir une autre.
À savoir également : le virus rubéole est cultivé sur des fibroblastes humains du cancer de poumon ! Et cela ne semble poser problème ni au laboratoire Sanofi - Pasteur ni aux autorités sanitaires françaises, ni à la ministre de la Santé qui susurre "haut" et "fort", face micros et caméras, des larmes dans les yeux, que nos vaccins sont sûrs et qu'elle ne veut que sauver la vie de pauvres petits enfants…